Les
cheveux
ondelés
de ta tresse
crêpée,
L’ivoire
blanchissant
de ton front
spacieux,
Les cercles
ébénins
qui voisinent tes yeux,
Et le
beau
vermillon
de ta joue
pourprée :
Le
corail
respirant
de ta bouche
sucrée,
L’albâtre
contourné
de ton col
doucereux,
Les coteaux
élevés
de tes tétins
neigeux,
Qui rendent proprement ta
poitrine
voûtée,
Ont appâté mon
cœur
d’une telle
façon,
Que plutôt je perdrai ma
rime
et ma chanson,
Et le souffle
sacré
de ma fureur
divine,
Que je mette en
oubli
ton front,
et tes cheveux,
Ta joue,
ton menton,
tes sourcils,
et tes yeux,
Ta bouche,
tes tétins,
ton col,
et ta poitrine.
Les
cheveux
ondelés
de ta tresse
crêpée,
L’ivoire
blanchissant
de ton front
spacieux,
Les cercles
ébénins
qui voisinent tes yeux,
Et le
beau
vermillon
de ta joue
pourprée :
Le
corail
respirant
de ta bouche
sucrée,
L’albâtre
contourné
de ton col
doucereux,
Les coteaux
élevés
de tes tétins
neigeux,
Qui rendent proprement ta
poitrine
voûtée,
Ont appâté mon
cœur
d’une telle
façon,
Que plutôt je perdrai ma
rime
et ma chanson,
Et le souffle
sacré
de ma fureur
divine,
Que je mette en
oubli
ton front,
et tes cheveux,
Ta joue,
ton menton,
tes sourcils,
et tes yeux,
Ta bouche,
tes tétins,
ton col,
et ta poitrine.
En ligne le
09/09/23.
Dernière révision le 12/03/24.