Plutôt du
ciel
astré
le mesuré contour
Bridera de son cours la
vitesse
nombreuse,
Plutôt du
clair
soleil
la lampe
radieuse,
Offusquant ses rayons,
nous privera du jour :
Plutôt
l’astre
nuital
ne fera son retour
Après avoir caché sa
face
lumineuse :
Plutôt les citoyens
de la mer
poissonneuse
Sortiront à monceaux de leur
moite
séjour :
Plutôt aussi les
champs
en la chaleur
ardente
Ne se tapisseront d’une
herbe
verdoyante,
Et les arbres
mourront sentant venir
l’été :
Avant (mon
cher
ami)
que j’aie
en oubliance,
Quoi qu’on sache parler la
sainte
confiance :
Que j’ai toujours conçu de ta
fidélité.
Plutôt du
ciel
astré
le mesuré contour
Bridera de son cours la
vitesse
nombreuse,
Plutôt du clair
soleil
la lampe
radieuse,
Offusquant ses rayons,
nous privera du jour :
Plutôt
l’astre
nuital
ne fera son retour
Après avoir caché sa
face
lumineuse :
Plutôt les citoyens
de la mer
poissonneuse
Sortiront à monceaux de leur
moite
séjour :
Plutôt aussi les
champs
en la chaleur
ardente
Ne se tapisseront d’une
herbe
verdoyante,
Et les arbres
mourront sentant venir
l’été :
Avant (mon
cher
ami) que
j’aie en oubliance,
Quoi qu’on sache parler la
sainte
confiance :
Que j’ai toujours conçu de ta
fidélité.
En ligne le
28/08/07.
Dernière révision le 17/12/22.