««« val ou val­lée »»»

« vallée » ou « val­lées », « val » ou « vaux », « val­lons » ou « val­lon » dans :
Marot
1533
~ [Tu crains (pour vrai)…
Phi­lieul
1548 [1555]
~ Mets-moi où est le Soleil… (Canz., 145)
Ron­sard
1552
~ Comme un che­vreuil…
Des Autels
1553
~ Donc mainte­nant…
Fon­taine
1555
~ [Plutôt (j’ai dit)…
Babi­not
1559
~ Ni d’Euclion…
Jo­delle
1574
~ Démo­phoon, Cé­phale…
1575
~ Ton Neptun mon binet
Gou­lart
1574
~ Tout ce que Rome tient…
Du Bartas
1578
~ [Le vent d’Austre qui rompt…
Du Monin
1582
~ Toujours le sein…
La Jessée
1583
~ Que toutes nos forêts…
Grisel
1599
~ Plutôt le ciel voû­té…
Mont­chres­tien
1601
~ [Par toi vont com­men­cer…
Malde­ghem
1606
~ Mettez-moi où Phé­bus… (Canz., 145)
Cer­ton
1620
~ Par mon che­min…

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Val ou Vallée. Pier­reuse, basse, pro­fonde, té­né­breuse, hu­mide, se­crète, pen­dante ou pen­chante, obs­cure, noire, her­bue, verte ou ver­doyante, om­breuse, courbe, en­rouée, sa­blon­neuse, ré­son­nante, étroite, humble, creuse, moite, éten­due, fleu­rie ou fleu­ris­sante, mon­tueuse.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 271v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_549]
(texte modernisé).

[Voir aussi Apennin.]


 

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Val ou Valee. Pier­reuse, basse, pro­fonde, te­ne­breuse, hu­mide, se­crette, pen­dante ou pen­chante, obs­cure, noire, her­bue, verde ou ver­doiante, om­breuse, courbe, en­roüee, sa­blon­neuse, re­son­nante, estroite, humble, creuse, moite, esten­due, fleu­rie ou fleu­ris­sante, mon­tueuse.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 271v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_549]
(texte original).

[Voir aussi Apennin.]