TOut
seul, et en rêvant au
chample
texte porte « chant » par erreur
plus solitaire
Je mesure mes pas
posés
appesantifs,
Et fais que mes deux yeux
de fuir
attentifs
Font que vestige
humain
ne leur y soit contraire.
Trouver ne m’est possible autre
meilleur repaire,
Pour fuir le soupçon
du peuple
conceptif,
Car en mes actions par
plaisir
sensitif
Ce que j’ai dans le
cœur
ma face
ne peut taire.
Tellement que je crois qu’il
n’est ni mont,
ni plaine,
Ni fleuve
ni forêt
à qui ne soit certaine,
La trempe
de ma vie
recelée
à autrui.
Mais chercher je ne puis ma
vie
si
lointaine
Qu’amour
ne m’y attrape et partout il me traîne,
Parlant toujours à moi, et moi toujours à lui.
TOut
seul, et en rêvant au
chample
texte porte « chant » par erreur
plus solitaire
Je mesure mes pas
posés
appesantifs,
Et fais que mes deux yeux
de fuir
attentifs
Font que vestige
humain
ne leur y soit contraire.
Trouver ne m’est possible autre
meilleur repaire,
Pour fuir le soupçon
du peuple
conceptif,
Car en mes actions par
plaisir
sensitif
Ce que j’ai dans le
cœur
ma face
ne peut taire.
Tellement que je crois qu’il
n’est ni mont,
ni plaine,
Ni fleuve
ni forêt
à qui ne soit certaine,
La trempe
de ma vie
recelée
à autrui.
Mais chercher je ne puis ma
vie
si
lointaine
Qu’amour
ne m’y attrape et partout il me traîne,
Parlant toujours à moi, et moi toujours à lui.
En ligne le
24/10/05,
versé dans l’anthologie principale le
11/11/23.
Dernière révision le 11/11/23.