««« Au­rore »»»

« Aurore » dans :
Phi­lieul
1548 [1555]
~ Devers l’Au­rore… (Canz., 239)
Du Bellay
1550
~ Déjà la nuit…
~ Rendez à l’or…
1552
~ Ce ne sont pas…
Ron­sard
1552
~ En ma douleur…
Baïf
1552
~ Tu as les yeux…
Magny
1553
~ Je trouve en vous…
~ J’étais tout prêt…
1554 [1871]
~ Autant, mon Ron­sard, que de roses…
1555
~ Où prit l’en­fant Amour…
1557
~ J’ai dit cent fois, PAS­CHAL…
Le Caron
1554
~ Claire en beau­té…
Bu­gnyon
1557
~ D’une Junon…
~ Malgré le sort…
Buttet
1561
~ Jà le matin…
~ Il était nuit…
Ellain
1561
~ Quand Jupi­ter…
Jo­delle
1574
~ Quel heur Anchise à toi…
Gou­lart
1574
~ Ainsi que l’œil…
Jamyn
1575
~ Ô beaux che­veux…
Chante­louve
1576
~ D’où prit amour…
Le Loyer
1576
~ J’étais tout près…
Cour­tin
1581
~ Il était jour…
La Jessée
1583
~ Plutôt la terre…
Isaac Habert
1585
~ J’admire l’or on­dé…
Desaurs
1589
~ Bel est le bois…
~ Main mille fois…
Louven­court
1595
~ Somme, jus­qu’au­jour­d’hui…
Las­phrise
1597
~ Ce riche enten­de­ment…
~ Ton poil, ton œil, ta main…
~ Plutôt le monde…
Ber­thrand
1599
~ Toujours le Dieu de l’air…
Mage de Fiefme­lin
1601
~ Comme l’Éclair du Nord…
Claude Gar­nier
1609
~ Qui peut nom­brer…
Bernier de La Brousse
1618
~ Comme on voit bien sou­vent…

~#~














Voir aussi
« Aurore » selon
# Martin, 1544
# Proust, 1549.
 

Aurore. Rou­soyante, claire, em­per­lée, ti­tho­nienne, pâle, se­reine, pour­prée, étin­ce­lante, ver­meille, sa­fra­née, ma­ti­neuse ou ma­ti­nale, fraîche, jau­nis­sante, belle, cri­neuse, in­dienne, blon­dis­sante, demi-blanche, ro­si­neuse, tarde, pour­prine ou pur­pu­rine, hu­mide, re­lui­sante, amou­reuse, do­rée, lente, moite, ra­dieuse, poi­gnante, thau­man­tide, pâ­lis­sante.

Par l’Aurore que les poètes feignent être Déesse, est enten­du le point ou première clar­té du jour.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 28r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_62]
(texte modernisé).

[Aurorin /-ine /-s. Face, joues, jour, ma­ti­née, ro­sée.]

[Voir aussi aube et Tithon.]


 

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Jean MARTIN, 1544.
 

Aurore est la splen­deur qui pré­cède la venue du Soleil, déchas­sant la nuit, et rame­nant le jour. Aucuns Poètes la disent fille de Tithon et de la terre, les autres main­tiennent qu’elle est sa femme, et mère des vents.

Jean MARTIN, L’Arcadie de Messire Jacques Sannazar,
mise d’Italien en Français, 1544, « Exposi­tion de plusieurs mots conte­nus en ce livre, dont l’intelli­gence n’est commune », f° 117r°v° [Gallica, NUMM-110564, PDF_233_234]
(texte modernisé).


 

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Jean PROUST, 1549.
 

L’Aurore) C’est l’aube du jour, qu’on nomme la mes­sa­gère du soleil, c’est pour­quoi on lui attri­bue la cou­leur ver­meille.

Jean PROUST, in DU BELLAY, Recueil de Poésie, 1549,
« Brève exposi­tion de quelques passages poétiques les plus diffi­ciles contenus en cet œuvre », « Du Prosphonéma­tique », p. 70 [Gallica, NUMM-71119, PDF_71]
(texte modernisé).


 

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Aurore. Rou­soiante, claire, em­per­lee, ti­tho­nienne, palle, se­reine, pour­pree, estin­ce­lante, ver­meille, saffra­nee, ma­ti­neuse ou ma­ti­nale, fraiche, iau­nis­sante, belle, cri­neuse, in­dienne, blon­dis­sante, demi-blanche, ro­si­neuse, tarde, pour­prine ou pur­pu­rine, hu­mide, re­lui­sante, amou­reuse, do­ree, lente, moite, ra­dieuse, poi­gnante, thau­man­tide, pal­lis­sante.

Par l’Aurore que les poëtes feignent estre Deesse, est enten­du le poinct ou pre­miere clair­té du iour.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 28r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_62]
(texte original).

[Aurorin /-ine /-s. Face, ioues, iour, ma­ti­nee, ro­see.]

[Voir aussi aube et Tithon.]



 

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Iehan MARTIN, 1544.
 

Aurore est la splen­deur qui pre­cede la uenue du Soleil, dechas­sant la nuyt, & rame­nant le iour. Aucuns Poetes la dyent fille de Tithon & de la terre, les autres main­tiennent qu’elle est sa femme, et mere des uentz.

Iehan MARTIN, L’Arcadie de Messire Iaques Sannazar,
mise d’Italien en Francoys, 1544, « Exposi­tion de plusieurs motz conte­nuz en ce liure, dont l’intelli­gence n’est commune », f° 117r°v° [Gallica, NUMM-110564, PDF_233_234]
(texte original).



 

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Ian PROUST, 1549.
 

L’Aurore) C’est l’aube du iour, qu’on nomme la mes­sa­gere du soleil, c’est pour­quoy on luy attri­bue la cou­leur uer­meille.

Ian PROUST, in DU BELLAY, Recueil de Poesie, 1549,
« Brieue expo­si­tion de quelques passaiges poëtiques les plus diffi­ciles contenuz en cet œuure », « Du Prosphone­matique », p. 70 [Gallica, NUMM-71119, PDF_71]
(texte original).