Jà le
matin
qui l’univers redore,
De franges
d’or,
et de perles
s’ornait,
Et doucement tout en roses
tournait
Le char
serein,
de l’Indienne
Aurore.
Las le
souci
qui sans fin me dévore,
Aucun espoir
de paix
ne me donnait :
Plutôt le jour
alors me ramenait
Mille tourments,
et mille morts
encore,
Quand derrièr’ moi
au bout d’un
gai
préau,
Ma Nymphe
émut un
orient
nouveau,
Qui éclaira mes
nocturnes
angoisses.
Pardonnez-moi, ô vous
célestes
Dieux,
Luire la vis, de corps,
de front,
et d’yeux,
Plus belle encor que ne sont vos
Déesses.
Jà le
matin
qui l’univers redore,
De franges
d’or,
et de perles
s’ornait,
Et doucement tout en roses
tournait
Le char
serein,
de l’Indienne
Aurore.
Las le
souci
qui sans fin me dévore,
Aucun espoir
de paix
ne me donnait :
Plutôt le jour
alors me ramenait
Mille tourments,
et mille morts
encore,
Quand derrièr’ moi
au bout d’un
gai
préau,
Ma Nymphe
émut un
orient
nouveau,
Qui éclaira mes
nocturnes
angoisses.
Pardonnez-moi, ô vous
célestes
Dieux,
Luire la vis, de corps,
de front,
et d’yeux,
Plus belle encor que ne sont vos
Déesses.
En ligne le
07/11/18.
Dernière révision le 20/11/24.