J’étais tout
près de saluer
l’Aurore,
Qui délaissant fraîchement le
sommeil
Faisait sortir de la
mer
le Soleil,
Pour luire au
monde
et le
beau
jour
déclore :
Quand j’aperçus la
Belle
que j’adore
Vers l’Occident éclairer de son
œil,
Montrer son front,
et son lustre
vermeil,
Son sein,
son poil,
qui sa face
redore.
Pardonnez-moi, si je vous dis
grands
Dieux,
Que pour la voir je retournai les
yeux,
N’ayant point vu de
pucelle
semblable :
Et que laissant une
divinité,
Je saluai une
humaine
beauté,
Qui plus qu’un Dieu me semblait admirable.
J’étais
tout près de saluer
l’Aurore,
Qui délaissant
fraîchement le
sommeil
Faisait sortir de la
mer
le Soleil,
Pour luire au
monde
et le
beau
jour
déclore :
Quand
j’aperçus la
Belle que
j’adore
Vers
l’Occident
éclairer de son
œil,
Montrer son
front,
et son lustre
vermeil,
Son
sein,
son poil,
qui sa face
redore.
Pardonnez-moi,
si je vous dis
grands
Dieux,
Que pour la voir je
retournai les
yeux,
N’ayant point vu
de pucelle
semblable :
Et
que laissant une
divinité,
Je saluai une
humaine
beauté,
Qui plus qu’un Dieu me semblait admirable.
En ligne le
28/09/18.
Dernière révision le 13/04/22.