««« As­trée »»»

« Astrée » dans :
Bu­gnyon
1557
~ D’une Junon…
La Bode­rie
1571
~ Phébus, Pei­thon…

~#~














voir aussi
« Astrée » selon
# Proust, 1549.
 

Astrée. Im­mor­telle, fille de dieu, déesse de jus­tice, vierge.

Les poètes feignent qu’Astrée est fille d’Astræus ou Astrée et de l’Aurore, ou bien de Jupi­ter et de Thé­mide, laquelle, fut en­voyée au monde durant le siècle doré, et depuis s’of­fen­sant de la malice des hommes être retour­née au ciel.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 25r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_56]
(texte modernisé).

[Voir aussi Borée.]


 

«««  #  »»»

Jean PROUST, 1549.
 

La belle vierge) C’est la vierge Astrée, qui régnait du temps du siècle doré. Les poètes feignent qu’elle s’envo­la au ciel avecques les ver­tus, quand Pan­dore ouvrit sa boîte fatale.

Jean PROUST, in DU BELLAY, Recueil de Poésie, 1549,
« Brève expo­si­tion de quelques passages poé­tiques les plus diffi­ciles conte­nus en cet œuvre », « Du Prospho­né­ma­tique », pp. 71-72 [Gallica, NUMM-71119, PDF_72_73]
(texte modernisé).


 

«««  #  »»»

Astree. Im­mor­telle, fille de Dieu, Deesse de ius­tice, vierge.

Les poetes feignent qu’Astree est fille d’Astræus ou Astree & de l’Aurore, ou bien de Iupi­ter & de The­mide, laquelle, fut en­uoiee au monde durant le siecle doré, & depuis s’of­fen­çant de la ma­lice des hommes estre retour­nee au ciel.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 25r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_56]
(texte original).

[Voir aussi Boree.]



 

«««  #  »»»

Ian PROUST, 1549.
 

La belle uierge) C’est la uierge Astrée, qui regnoit du temps du siecle doré. Les poëtes feignent qu’elle s’en uola au ciel auecques les uer­tuz, quand Pan­dore ouurit sa boëte fatale.

Ian PROUST, in DU BELLAY, Recueil de Poesie, 1549,
« Brieue expo­si­tion de quelques passaiges poë­tiques les plus diffi­ciles conte­nuz en cet œuure », « Du Prospho­né­ma­tique », pp. 71-72 [Gallica, NUMM-71119, PDF_72_73]
(texte original).