Tu as les
yeux
de Junon,
ô Méline,
Tes
blonds
cheveux
sont d’Aurore
les crins :
Ta langue
sage,
en ses clos
ivoirins,
Meut de Peithon
la parole
bénine :
De
Cythérée
est ta
blanche
poitrine,
Où sont bossés deux
montets
albâtrins,
De Pallas
sont tes
doctes
doigts
marbrins :
Tes pieds
d’argent
de Thétis
la marine.
Rien n’est en toi qui ne vienne
des cieux :
Chaque déesse
en toi mit tout le mieux
Qui fût en elle, et
d’honneur
et de grâce :
Bienheureux est qui te voit :
plus grand heur
L’homme
a, qui t’oit :
demi-dieu
ton baiseur,
Dieu
parfait
est qui nu à nu t’embrasse.
Tu as les
yeux
de Junon,
ô Méline,
Tes
blonds
cheveux
sont d’Aurore
les crins :
Ta langue
sage,
en ses clos
ivoirins,
Meut de Peithon
la parole
bénine :
De
Cythérée
est ta
blanche
poitrine,
Où sont bossés deux
montets
albâtrins,
De Pallas
sont tes
doctes
doigts
marbrins :
Tes pieds
d’argent
de Thétis
la marine.
Rien n’est en toi qui ne vienne
des cieux :
Chaque déesse
en toi mit tout le mieux
Qui fût en elle, et
d’honneur
et de grâce :
Bienheureux est qui te voit :
plus grand heur
L’homme
a, qui t’oit :
demi-dieu
ton baiseur,
Dieu
parfait
est qui nu à nu t’embrasse.
En ligne le
05/07/13.
Dernière révision le 22/01/22.