anaphore du
démonstratif
(vers 1-14)
Sous un
voile
mortel
ce beau
front
de déesse,
Cet honneur
Amoureux
sans aucun déshonneur,
Cette douceur
mêlée en
sévère
rigueur,
Et cette humilité
pleine de gentillesse.
Ce
maintien
et ce port,
qui montre sa noblesse,
Ce silence
parlant
que découvre mon
cœur,
Ces deux astres
luisants
d’une
vive
splendeur,
Et en un
simple
habit
ce marcher de Princesse.
Ces
roses
qu’au Soleil
on ne voit point fanir,
Cette neige
qui peut les chaleurs
soutenir,
Devenant par le chaud plus
forte
et
endurcie.
Ces
rubis,
cet ivoire,
et ce crêpe,
et cet or,
Ce cinabre,
et ce nacre
et cet ébène
encor,
Ce sont les
doux
Tyrans
qui tourmentent ma vie.
Sous un
voile
mortel
ce beau
front
de déesse,
Cet honneur
Amoureux
sans aucun déshonneur,
Cette douceur
mêlée en
sévère
rigueur,
Et cette humilité
pleine de gentillesse.
Ce
maintien
et ce port,
qui montre sa noblesse,
Ce silence
parlant
que découvre mon
cœur,
Ces deux astres
luisants
d’une
vive
splendeur,
Et en un
simple
habit
ce marcher de Princesse.
Ces
roses
qu’au Soleil
on ne voit point fanir,
Cette neige
qui peut les chaleurs
soutenir,
Devenant par le chaud plus
forte
et
endurcie.
Ces
rubis,
cet ivoire,
et ce crêpe,
et cet or,
Ce cinabre,
et ce nacre
et cet ébène
encor,
Ce sont les
doux
Tyrans
qui tourmentent ma vie.
En ligne le
17/09/17.
Dernière révision le 23/12/23.