Devant que prononcer
l’arrêt
de ma mort
blême,
Conseillez-vous, ma
Dame,
au moins je vous suppli’
À celles que semblez vouloir mettre en
oubli,
La jeunesse,
l’Amour,
et la vieillesse
même.
La
jeunesse
dira qu’une
beauté
suprême,
Ne doit laisser fanir son
front
jeune,
et poli,
Le lustre
de ses yeux,
son sein
rond,
et joli
Ains qu’mais
plutôten faire
faveur
à celui-là qui l’aime,
L’Amour
conseillera qu’il faut récompenser
Ceux qui pour bien aimer sont prêts de trépasser,
Desquels le seul
espoir
soutient l’âme
et la vie,
Et
la vieillesse
après pour mieux vous convertir,
Remontrera comment on voit se repentir,
Celles qui n’ont
l’Amour
en jeunesse
suivie.
Devant que prononcer
l’arrêt
de ma mort
blême,
Conseillez-vous, ma
Dame,
au moins je vous suppli’
À celles que semblez vouloir mettre en
oubli,
La jeunesse,
l’Amour,
et la vieillesse
même.
La
jeunesse
dira qu’une
beauté
suprême,
Ne doit laisser fanir son
front
jeune,
et poli,
Le lustre
de ses yeux,
son sein
rond,
et joli
Ains qu’mais
plutôten faire
faveur
à celui-là qui l’aime,
L’Amour
conseillera qu’il faut récompenser
Ceux qui pour bien aimer sont prêts de trépasser,
Desquels le seul
espoir
soutient l’âme
et la vie,
Et
la vieillesse
après pour mieux vous convertir,
Remontrera comment on voit se repentir,
Celles qui n’ont
l’Amour
en jeunesse
suivie.
En ligne le
23/12/23.
Dernière révision le 23/12/23.