Quand
l’or
de tes cheveux
qui ton
beau
front
redore,
En la
belle
saison
de ton plus
gai
printemps :
Et quand le cours
ailé
de tes ans
fleurissants,
Feront place au destin
qui tout ronge et dévore :
Quand ce
beau
teint
rosin
qui ta face
colore,
Et quand les rais
perçants
de tes Astres
luisants,
Perdront lustre,
et vigueur :
mille soupirs
cuisants,
Te sortiront du flanc,
et te poindront encor.
Mais il sera trop tard de maudire le
jour,
Que tu n’auras daigné cueillir les
fruits
d’amour :
Car ceux qui de t’aimer ont ore quelque
envie,
Se voyant repoussés par un
maigre
refus,
S’éloigneront de toi : et lors tes sens
confus,
Te feront détester le reste de ta
vie.
Quand
l’or
de tes cheveux
qui ton
beau
front
redore,
En la
belle
saison
de ton plus
gai
printemps :
Et quand le cours
ailé
de tes ans
fleurissants,
Feront place au destin
qui tout ronge et dévore :
Quand ce
beau
teint
rosin
qui ta face
colore,
Et quand les rais
perçants
de tes Astres
luisants,
Perdront lustre,
et vigueur :
mille soupirs
cuisants,
Te sortiront du flanc, et te poindront encor.
Mais il sera trop tard de maudire le
jour,
Que tu n’auras
daigné cueillir les
fruits
d’amour :
Car ceux qui de t’aimer
ont ore quelque
envie,
Se voyant repoussés par un
maigre
refus,
S’éloigneront
de toi : et lors tes sens
confus,
Te feront détester le reste de ta
vie.
En ligne le
16/09/25.
Dernière révision le 16/09/25.