Qui a nombré, quand
l’astre,
qui plus luit,
Jà le milieu du bas cercle environne,
Tous ces beaux feux,
qui font une couronne
Aux noirs
cheveux
de la plus claire
nuit,
Et qui a su combien de fleurs
produit
Le vert
printemps,
combien de fruits
l’automne,
Et les trésors,
que l’Inde
riche
donne
Au marinier,
qu’avarice
conduit,
Qui a compté les étincelles
vives
D’Etne,
ou Vésuve, et les flots,
qui en mer
Heurtent le front
des écumeuses
rives,
Celui encor d’une, qui tout
excelle,
Peut les vertus,
et beautés
estimer,
Et les tourments,
que j’ai pour l’amour
d’elle.
Qui a nombré, quand
l’astre,
qui plus luit,
Jà le milieu du bas cercle environne,
Tous ces beaux feux,
qui font une couronne
Aux noirs
cheveux
de la plus claire
nuit,
Et qui a su combien de fleurs
produit
Le vert
printemps,
combien de fruits
l’automne,
Et les trésors,
que l’Inde
riche
donne
Au marinier,
qu’avarice
conduit,
Qui a compté les étincelles
vives
D’Etne,
ou Vésuve, et les flots,
qui en mer
Heurtent le front
des écumeuses
rives,
Celui encor d’une, qui tout
excelle,
Peut les vertus,
et beautés
estimer,
Et les tourments,
que j’ai pour l’amour
d’elle.
En ligne le 04/03/05.
Dernière révision le 07/09/13.