disposition du
préambule
(vers
1-3, 5-6, 9-11)
propos :
Qui voit
(Phébus
sur le Taureau
monté)
Le blanc,
l’azur,
le vert,
dont Flora
dore,
Les prés
herbus,
peut penser voir encore,
Le gai
printemps
de sa
douce
beauté.
Nombrant les
rais,
desquels au temps
d’été,
Diversement
l’arc-en-Ciel
se colore,
L’infinité des
grâces,
que j’adore,
Il peut nombrer en un compte arrêté.
Et qui pourra les
Atomes
comprendre
Du grand
espace,
auquel l’on voit étendre,
De l’œil
du Ciel la
lumineuse
flamme :
Celui, possible, aussi pourra
connaître,
Dedans mon cœur
combien grande peut être,
L’affection,
que je porte à ma
Dame.
Qui voit (Phébus
sur le Taureau
monté)
Le blanc,
l’azur,
le vert,
dont Flora
dore,
Les prés
herbus,
peut penser voir encore,
Le gai
printemps
de sa
douce
beauté.
Nombrant les
rais,
desquels au temps
d’été,
Diversement
l’arc-en-Ciel
se colore,
L’infinité des
grâces,
que j’adore,
Il peut nombrer en un compte arrêté.
Et qui pourra les
Atomes
comprendre
Du grand
espace,
auquel l’on voit étendre,
De l’œil
du Ciel
la
lumineuse
flamme :
Celui, possible, aussi pourra
connaître,
Dedans mon cœur
combien grande peut être,
L’affection,
que je porte à ma
Dame.
Version de 1554 en ligne le
14/08/05,
remplacée par celle de 1551 le 07/09/13.
Dernière révision le 07/06/21.