[…]
Mais qui pourroit conter combien
d’hommes
armés,
Dedans nostre cité
s’esleuent animés
Au son
du tabourin,
alors qu’un bruit
de guerre
Soit ou venant
d’Espaigne,
ou venant
d’Angleterre,
Menace nostre Roi,
soit lors que contre nous
Nous aigrissons, cruels, nostre propre
courrous?
Ainsi que nous faisons, lors que dedans nos
villes
Nous atisons le feu
de nos guerres
ciuiles.
Ceux-là, di-ie, pourroient plustost auoir
contés
Des
grands
champs
Beauçeans
tous les espics
crêtés,
Tous les oiseaux
de l’ær,
ou bien conter encore
Tout le sablon
baigné par le
riuage
More.
[…]
[…]
Mais qui pourroit conter combien
d’hommes
armés,
Dedans nostre cité
s’esleuent animés
Au son
du tabourin,
alors qu’un bruit
de guerre
Soit ou venant
d’Espaigne,
ou venant
d’Angleterre,
Menace nostre Roi,
soit lors que contre nous
Nous aigrissons, cruels, nostre propre
courrous?
Ainsi que nous faisons, lors que dedans nos
villes
Nous atisons le feu
de nos guerres
ciuiles.
Ceux-là, di-ie, pourroient plustost auoir
contés
Des
grands
champs
Beauçeans
tous les espics
crêtés,
Tous les oiseaux
de l’ær,
ou bien conter encore
Tout le sablon
baigné par le
riuage
More.
[…]
En ligne le
08/05/10.
Dernière révision le 27/10/22.