Ni voir le
peuple
espais,
qui troupe
a qui troupe
arriue,
Ni d’ouïr au
reflot
le murmure
des eaux,
Ni voir sur l’eau
ramer mille & mille vaisseaux,
Ni la fraischeur
qu’on prend au
bord
de cete riue.
Ni de voir promener la briguade
lassiue,
Qu’Amour
tient en ses rets,
de mille damoiseaux,
Ni pouuoir s’esjouïr de mille
esbats
nouueaux,
Celà ne peut flater la
loi
qui nous captiue.
Dure
&
cruelle
loi,
qui contre mon
desir
Me fait d’vn entretien desrober ton
plaisir,
Pour couurir ton
larcin
fait en chose plus grande.
Dure
&
cruelle
loi,
qui te contraint aussi
De faindre, pour cacher ton
amoureux
souci,
A autre
Saint
qu’au tien, adresser ton
offrande.
Ni voir le
peuple
espais,
qui troupe
a qui troupe
arriue,
Ni d’ouïr au
reflot
le murmure
des eaux,
Ni voir sur l’eau
ramer mille & mille vaisseaux,
Ni la fraischeur
qu’on prend au
bord
de cete riue.
Ni de voir promener la briguade
lassiue,
Qu’Amour
tient en ses rets,
de mille damoiseaux,
Ni pouuoir s’esjouïr de mille
esbats
nouueaux,
Celà ne peut flater la
loi
qui nous captiue.
Dure
&
cruelle
loi,
qui contre mon
desir
Me fait d’vn entretien desrober ton
plaisir,
Pour couurir ton
larcin
fait en chose plus grande.
Dure
&
cruelle
loi,
qui te contraint aussi
De faindre, pour cacher ton
amoureux
souci,
A autre
Saint
qu’au tien, adresser ton
offrande.
En ligne le
25/10/20.
Dernière révision le 28/11/24.