L’Orine
et blonde
tresse
à l’vent
légeraure voletait
En mille flots
doucets
mignardement
ondée,
Et la lumière
était sans mesure
dardée
De ce double Soleil,
que mon œil
plus ne voit :
Dans le
teint
de son front
la pitié
se montrait
(Je ne sais si ma
vue
était, ou non bandée)
Et ma poitrine
étant au feu
accommodée,
Si soudain je brûlai,
merveille
ce n’était.
En
Ange
elle marchait, et non comme
mortelle,
En parlant ses
beaux
mots
plus de nous ne tenaient,
Et rien que de
céleste
et de
divin
n’avaient :
Bref, je vis que
c’était une
âme
toute
belle,
Un Soleil
donne-jour : et s’il n’est ore ainsi,
Pour cela je ne sens mon
mal
plus
adouci.
L’Orine
et blonde
tresse
à l’vent
légeraure voletait
En mille flots
doucets
mignardement
ondée,
Et la lumière
était sans mesure
dardée
De ce double Soleil,
que mon œil
plus ne voit :
Dans le
teint
de son front
la pitié
se montrait
(Je ne sais si ma
vue
était, ou non bandée)
Et ma poitrine
étant au feu
accommodée,
Si soudain je brûlai,
merveille
ce n’était.
En
Ange
elle marchait, et non comme
mortelle,
En parlant ses
beaux
mots
plus de nous ne tenaient,
Et rien que de
céleste
et de
divin
n’avaient :
Bref, je vis que
c’était une
âme
toute
belle,
Un Soleil
donne-jour : et s’il n’est ore ainsi,
Pour cela je ne sens mon
mal
plus
adouci.
En ligne le
28/03/25.
Dernière révision le 28/03/25.