Ni voir
flamber au point du
jour
les
roses,
Ni lis
planté
sur le bord
d’un ruisseau,
Ni
chant
de luth,
ni
ramage
d’oiseau,
Ni dedans l’or
les
gemmes
bien
encloses.
Ni des
zéphirs
les gorgettes
décloses,
Ni sur la mer
le ronfler d’un vaisseau,
Ni bal de
Nymphe
au gazouillis
de l’eau,
Ni de mon cœur
mille métamorphoses.
Ni
camp
armé
de lances
hérissé,
Ni
antre
vert
de mousse
tapissé,
Ni les
Sylvains
qui les
Dryades
pressent,
Et
jà déjà les domptent à leur
gré,
Tant de plaisirs
ne me donnent qu’un
Pré,
Où sans espoir
mes espérances
paissent.
Ni voir
flamber au point du
jour
les
roses,
Ni lis
planté
sur le bord
d’un
ruisseau,
Ni
chant
de luth, ni
ramage
d’oiseau,
Ni dedans l’or
les
gemmes
bien
encloses.
Ni des
zéphirs
les gorgettes
décloses,
Ni sur la mer
le ronfler d’un
vaisseau,
Ni bal de
Nymphe
au gazouillis
de l’eau,
Ni de mon cœur
mille métamorphoses.
Ni
camp
armé
de lances
hérissé,
Ni
antre
vert
de mousse
tapissé,
Ni les
Sylvains
qui les
Dryades
pressent,
Et
jà déjà les domptent à leur
gré,
Tant de plaisirs
ne me donnent qu’un
Pré,
Où sans espoir
mes espérances
paissent.
En ligne le 28/01/24.
Dernière révision le 13/05/24.