Ni voir flamber au point du jour les
roses,
Ni lis planté sur le bord
d’un
ruisseau,
Ni chant de luth, ni ramage
d’oiseau,
Ni dedans l’or
les gemmes bien encloses.
Ni des zéphyrs les gorgettes
décloses,
Ni sur la mer le ronfler d’un
vaisseau,
Ni bal de Nymphe au gazouillis de l’eau,
Ni de mon cœur mille métamorphoses.
Ni camp armé de lances
hérissé,
Ni antre vert de mousse tapissé,
Ni les Sylvains qui les Dryades pressent,
Et jà
déjà les domptent a leur
gré,
Tant de plaisirs ne me donnent qu’un
Pré,
Où sans espoir mes espérances paissent.
NI
voir flamber au point du jour les roses,
Ni lis planté sur le bord d’un
ruisseau,
Ni chant de luth, ni ramage
d’oiseau,
Ni dedans l’or
les gemmes bien encloses,
Ni des Zéphirs les gorgettes
décloses,
Ni sur la mer le ronfler d’un
vaisseau,
Ni bal de Nymphe au gazouillis de l’eau,
Ni de mon cœur mille
métamorphoses,
Ni camp armé de lances
hérissé,
Ni antre vert de mousse tapissé,
Ni les Sylvains qui les Dryades pressent,
Et jà
déjà les domptent à leur
gré,
Tant de plaisirs ne me donnent qu’un
Pré,
Où sans espoir mes espérances paissent.
NI
voir flamber au point du jour les roses,
Ni lis planté sur le bord d’un
ruisseau,
Ni chant de luth, ni ramage
d’oiseau,
Ni dedans l’or
les gemmes bien encloses,
Ni des Zéphirs les gorgettes
décloses,
Ni sur la mer le ronfler d’un
vaisseau,
Ni bal de Nymphe au gazouillis de l’eau,
Ni de mon cœur mille
métamorphoses,
Ni camp armé de lances
hérissé,
Ni antre vert de mousse tapissé,
Ni les Sylvains qui les Dryades pressent,
Et jà
déjà les domptent à
leur gré,
Tant de plaisirs ne me donnent qu’un
Pré,
Où sans espoir mes espérances paissent.
NI
voir flamber au point du jour les roses,
Ni lis plantés
sur le bord d’un
ruisseau,
Ni son
de luth, ni ramage
d’oiseau,
Ni dedans l’or
les gemmes bien encloses,
Ni des Zéphirs les gorgettes
décloses,
Ni sur la mer le ronfler d’un
vaisseau,
Ni bal de Nymphe au gazouillis de l’eau,
Ni voir fleurir au
printemps
toutes choses,
Ni camp armé de lances
hérissé,
Ni antre vert de mousse tapissé,
Ni des
forêts
les cimes
qui se pressent,
Ni des
rochers
le silence
sacré,
Tant de plaisir ne me donnent qu’un
Pré,
Où sans espoir mes espérances paissent.
textes
modernisés
[R]
En ligne le 22/03/17.
Dernière révision le 13/05/24.