««« ra­mage »»»

« ramage » ou « ramages » dans :
Ron­sard
1552
~ Ni voir flam­ber…
Bu­gnyon
1557
~ Ni le doux chant…
Baïf
1573
~ [J’ai un bel antre creux…
Jean de La Taille
1573
~ Quel plaisir puis-je avoir…
Bre­ton­nayau
1583
~ [J’aurais plus tôt les eaux…

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Ramage. Natu­rel, dé­goi­sé, plai­sant, doux, oise­leur.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 225v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_457]
(texte modernisé).

[Ramage. Dé­goi­se­ment, éper­vier.]

[Ramageux. Oiseau.]

[Voir aussi gazouil­le­ment ou ga­zouil­lis, tin­tin, ain­si que ta­rin ; voir en­core ra­meau.]


 

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Ramage. Naturel, dé­goi­sé, plai­sant, doux, oise­leur.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 225v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_457]
(texte original).

[Ramage. De­goi­se­ment, esper­uier.]

[Ramageus. Oiseau.]

[Voir aussi gazouil­le­ment ou ga­zouil­lis, tin­tin, ain­si que ta­rin ; voir en­core ra­meau.]