Ni par
les bois
les
Dryades
courantes,
Ni par les champs
les fiers
scadrons
armés,
Ni par les flots
les
grands
vaisseaux
ramés,
Ni sur les fleurs
les
abeilles
errantes,
Ni des
forêts
les
tresses
verdoyantes,
Ni des oiseaux
les corps bien
emplumés,
Ni de la nuit
les
flambeaux
allumés,
Ni des rochers
les
traces
ondoyantes,
Ni les
piliers
des
saints
temples
dorés,
Ni les
palais
de marbre
élaborés,
Ni l’or
encor, ni la
perle
tant
claire,
Ni tout
le beau, que
possèdent les
cieux,
Ni le
plaisir
pourrait plaire à mes
yeux,
Ne voyant point le Soleil,
qui m’éclaire.
Ni par
les bois
les
Dryades
courantes,
Ni par les champs
les fiers
scadrons
armés,
Ni par les flots
les
grands
vaisseaux
ramés,
Ni sur les fleurs
les
abeilles
errantes,
Ni des
forêts
les
tresses
verdoyantes,
Ni des oiseaux
les corps bien
emplumés,
Ni de la nuit
les
flambeaux
allumés,
Ni des rochers
les
traces
ondoyantes,
Ni les
piliers
des
saints
temples
dorés,
Ni les
palais
de marbre
élaborés,
Ni l’or
encor, ni la
perle
tant
claire,
Ni tout
le beau, que possèdent les
cieux,
Ni le
plaisir
pourrait plaire à mes
yeux,
Ne voyant point le Soleil, qui
m’éclaire.
En ligne le 06/06/21.
Dernière révision le 25/05/24.