Ni la
beauté
qui luit en vous parfaitement,
Ni l’amoureux
plaisir
qui le sensuel soûle.
Ni de votre
gent
corps
l’inimitable
moule,
Ni ces discours de vous filés si doctement,
Ni ce poil
mignoté du
fin
or
l’ornement,
Ni ce teint
Cyprien
qui tout autre teint
foule.
Ni
l’émail
précieux
de ces prés
jaunissants,
Ni les taillis
touffus
de ces bois
verdissants,
Ni ces
plaisants
jardins,
ni ces palais
encore,
Ni la
race,
les biens,
ni faveur
des Seigneurs,
Ne me font embrasser le mieux de vos
honneurs :
Seul votre
bel
esprit
fait que je vous adore.
NI
ce miel
qui si
doux
de votre bouche
coule,
Ni ce sonner du luth
de vous mignardement,
Ni la
beauté
qui luit en vous parfaitement,
Ni l’amoureux
plaisir
qui le sensuel soûle.
Ni de votre
gent
corps
l’inimitable
moule,
Ni ces discours de vous filés si doctement,
Ni ce poil
mignoté du
fin
or
l’ornement,
Ni ce teint
Cyprien
qui tout autre teint
foule.
Ni
l’émail
précieux
de ces prés
jaunissants,
Ni les taillis
touffus
de ces bois
verdissants,
Ni ces
plaisants
jardins,
ni ces palais
encore,
Ni la
race,
les biens,
ni faveur
des Seigneurs,
Ne me font embrasser le mieux de vos
honneurs :
Seul votre
bel
esprit
fait que je vous adore.
En ligne le
12/07/06.
Dernière révision le 09/09/23.