Dans la bouche
en après
me
croîtra
la parole
MARIE ET JACQUES DE ROMIEU.
[…] Jacques de Romieu, son frère, Secrétaire ordinaire de la Chambre du Roi, jaloux de l’honneur que sa sœur avait de monter sur le Parnasse, voulut l’y accompagner. Nous avons de lui un recueil de poésies imprimé à Lyon en 1584 qui contient l’éloge du Vivarais, des Chansons, des Odes, des Élégies, des Hymnes, des Épithalames, une Palinodie ; les descriptions de la mort de Cicéron et de Decius, se dévouant à la mort pour sa patrie, et quelques autres poésies. [1]
L’abbé GOUJET,
Bibliothèque française,
ou Histoire de la Littérature
française,
tome XIII, 1752, p. 275
[Gallica, NUMM-50656, PDF_301]
(texte modernisé).
Note
[1] Ce paragraphe est le paragraphe final des « vies » conjointes de Marie et Jacques de Romieu dans la Bibliothèque de l’abbé Goujet.
En ligne le 03/12/05.
Dernière révision le 03/03/21.