Jacques de ROMIEU
(?-?)
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1584 : Or je sais bien aussi…
 

Dans la bouche

en après

me croîtra        
la parole

 

 
L’abbé GOUJET, 1752
 

MARIE ET JACQUES DE ROMIEU.

[…] Jacques de Romieu, son frère, Secré­taire ordi­naire de la Chambre du Roi, jaloux de l’honneur que sa sœur avait de monter sur le Parnasse, voulut l’y accom­pa­gner. Nous avons de lui un recueil de poé­sies impri­mé à Lyon en 1584 qui contient l’éloge du Viva­rais, des Chan­sons, des Odes, des Élé­gies, des Hymnes, des Épi­tha­lames, une Pali­no­die ; les des­crip­tions de la mort de Cicé­ron et de Decius, se dévouant à la mort pour sa patrie, et quelques autres poé­sies.[1]

L’abbé GOUJET,
Biblio­thèque fran­çaise,
ou Histoire de la Litté­ra­ture fran­çaise,
tome XIII, 1752, p. 275
[Gallica, NUMM-50656, PDF_301]
(texte modernisé).


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Note

[1] Ce paragraphe est le para­graphe final des « vies » conjointes de Marie et Jacques de Romieu dans la Biblio­thèque de l’abbé Gou­jet.




En ligne le 03/12/05.
Dernière révision le 03/03/21.