anaphore de
« bien que »
(vers 1-9)
Bien que sur
terre
ondoyent tes
cheveux,
Que ton
beau
sein,
le Roi
de ma victoire,
Et ton col
blanc,
aillent domptant
l’ivoire,
Que la douceur
apparaisse
en tes yeux.
Bien que ton
front
reluise
audacieux
De majesté,
de louange,
et de gloire,
Que sur ta main
on voye la
mémoire
De ta puissance,
et d’un cœur
généreux :
Bien qu’en ta
joue
on contemple la rose,
La marguerite
en tes lèvres
éclose,
Fleur
dont l’odeur
me fait vivre et mourir.
Ton
bel
esprit,
et ton
gentil
courage,
Et ta bonté,
me sont bien davantage,
Ceux-ci sont tiens, ceux-là peuvent périr.
Bien que sur
terre
ondoyent tes
cheveux,
Que ton
beau
sein,
le Roi
de ma victoire,
Et ton col
blanc,
aillent domptant
l’ivoire,
Que la douceur
apparaisse
en tes yeux.
Bien que ton
front
reluise
audacieux
De majesté,
de louange,
et de gloire,
Que sur ta main
on voye la
mémoire
De ta puissance,
et d’un cœur
généreux :
Bien qu’en ta
joue
on contemple la rose,
La marguerite
en tes lèvres
éclose,
Fleur
dont l’odeur
me fait vivre et mourir.
Ton
bel
esprit,
et ton
gentil
courage,
Et ta bonté,
me sont bien davantage,
Ceux-ci sont tiens, ceux-là peuvent périr.
En ligne le
07/02/21.
Dernière révision le 10/12/23.