anaphore de
l’indéfini
(vers 1-11)
Un
poil
blond
enlacé de perles
à l’entour,
Poil
des cœurs
plus
félons
l’indissoluble
chaîne,
Un beau
front
albâtrin
qui les Cieux
rassérène,
Un œil
où Cupidon
a choisi son séjour.
Maints
diamants
bordés d’un
corail
fait au tour,
Une bouche
de musc
et de civette pleine,
Un chant
mélodieux
d’une
douce
Sirène,
Une gorge
ivoirine
où se loge
l’Amour.
Un
parler
qui pourrait fléchir une
Ourse
fière,
Un ris
qui tirerait les morts hors de la bière,
Un esprit
que les cieux
de leur mieux ont vêtu,
Couvert sous les
beaux
traits d’une beauté
divine,
Ont causé le
brasier
épris en ma
poitrine,
Dont j’écris tant
d’Amour
et de sa
grand
vertu.
Un
poil
blond
enlacé de perles
à l’entour,
Poil
des cœurs
plus
félons
l’indissoluble
chaîne,
Un beau
front
albâtrin
qui les Cieux
rassérène,
Un œil
où Cupidon
a choisi son séjour.
Maints
diamants
bordés d’un
corail
fait au tour,
Une bouche
de musc
et de civette pleine,
Un chant
mélodieux
d’une
douce
Sirène,
Une gorge
ivoirine
où se loge l’Amour.
Un
parler
qui pourrait fléchir une
Ourse
fière,
Un ris
qui tirerait les morts hors de la bière,
Un esprit
que les cieux
de leur mieux ont vêtu,
Couvert sous les
beaux
traits d’une
beauté
divine,
Ont causé le
brasier
épris en ma
poitrine,
Dont j’écris
tant d’Amour
et de sa
grand
vertu.
En ligne le
04/10/09.
Dernière révision le 09/10/24.