[…]
Je n’eus jamais une
tranquille
nuit :
Mais soupirai depuis matin et
soir,
Qu’amour
me fit un citoyen
des bois.
Quand j’aurai paix,
la mer
sera sans ondes,
Et au soleil
donn’ra clarté
la lune,
Et fleurs
d’Avril
mourront par toute plage.
[…]