Tous mes
pensers
à rive
aborderont
Lassés en vain de la
forte
tourmente,
Quand du Laurier
la branche
verdissante
Perdre son teint
les Dieux accorderont.
Et mes
tourments
et travaux
cesseront,
Lorsqu’on verra la
neige
blanchissante
Noircir, brûler, et la
flamme
éclairante
Glacer partout où ses
rais
s’épandront.
Tant de
cheveux
je n’ai dessus ma
tête,
Et tant d’éclairs
au fort d’une
tempête,
Ne lichent point des
Navires
les flancs.
Comme
de mois
et d’ans
voudrais attendre,
Ce jour
heureux,
sans m’ennuyer d’entendre,
Qu’en lieu de
noirs
j’eusse les
cheveux
blancs.
Tous
mes pensers
à rive
aborderont
Lassés en vain
de la
forte
tourmente,
Quand du
Laurier
la branche
verdissante
Perdre son
teint
les Dieux accorderont.
Et
mes tourments
et travaux
cesseront,
Lorsqu’on
verra la neige
blanchissante
Noircir,
brûler, et la
flamme
éclairante
Glacer partout
où ses rais
s’épandront.
Tant
de cheveux
je n’ai dessus ma
tête,
Et tant
d’éclairs
au fort d’une
tempête,
Ne lichent point des
Navires
les flancs.
Comme
de mois
et d’ans
voudrais attendre,
Ce
jour
heureux,
sans m’ennuyer
d’entendre,
Qu’en
lieu de
noirs
j’eusse les
cheveux
blancs.
En ligne le
05/05/25.
Dernière révision le 05/05/25.