[…]
Je n’eus jamais une
tranquille
nuit :
Mais soupirai depuis matin et
soir,
Qu’amour
me fit un citoyen
des bois.
Quand j’aurai paix,
la
mer sera sans ondes,
Et
au soleil donn’ra clarté la
lune,
Et
fleurs d’Avril
mourront par toute plage.
[…]
[…]
Je
n’eus jamais une
tranquille
nuit :
Mais soupirai depuis matin
et soir,
Qu’amour
me fit un citoyen
des bois.
Quand j’aurai
paix, la
mer sera sans
ondes,
Et au soleil
donn’ra
clarté la lune,
Et fleurs
d’Avril mourront par toute plage.
[…]
En ligne le 29/06/21.
Dernière révision le 14/04/24.