anaphore du
démonstratif
(vers 1-4)
Ce
front
luisant,
et ces tresses
dorées
Beaux
passements
de tes grâces
divines,
Ce jus
rosat,
dont tes lèvres
sont pleines,
Et ces rayons
d’étoiles
adorées,
Qui du
haut
ciel
de tes clartés
parées
Dardent cent traits
de cruautés
bénines,
Qui sont fichés au
profond
de mes veines,
Me font chanter tes
splendeurs
honorées.
Mais ta
rigueur,
qui sur mon âme
jette
Les traits
meurtriers
d’amoureuse
sagette,
Grave en mon cœur
de son
aigre
pointure
Le
fier
dédain
qui en douleur
m’embraise
Si cuisamment que sans cesse j’endure
De tous ennuis
l’incurable
malaise.
Ce
front
luisant,
et ces tresses
dorées
Beaux
passements
de tes grâces
divines,
Ce jus
rosat,
dont tes lèvres
sont pleines,
Et ces rayons
d’étoiles
adorées,
Qui du
haut
ciel
de tes clartés
parées
Dardent cent traits
de cruautés
bénines,
Qui sont fichés au
profond
de mes veines,
Me font chanter tes
splendeurs
honorées.
Mais ta
rigueur,
qui sur mon âme
jette
Les traits
meurtriers
d’amoureuse
sagette,
Grave en mon cœur
de son
aigre
pointure
Le
fier
dédain
qui en douleur
m’embraise
Si cuisamment que sans cesse j’endure
De tous ennuis
l’incurable
malaise.
En ligne le
10/01/20.
Dernière révision le 02/09/22.