Ni les
honneurs
d’une richesse
orine,
Ni les parfums
des
odorantes
fleurs,
Ni le printemps
des
champêtres
couleurs,
Ni les blancheurs
de colonne
ivoirine,
Ni les
appâts
de grâce
nectarine,
Ni les attraits
des
rosines
douceurs,
Ni le
doux
chant
des trois pipeuses
sœurs,
Ni les odeurs
de bouche
Cinabrine,
Ni les projets par
fol
amour
tracés,
Ni le
fin
or des
crêpillons lacés,
Ni le
beau
ciel
d’une excellence
Claire,
Ni les
rayons
des astres
gracieux,
Ont ébloui par leur
lustre
mes yeux :
Mais la vertu,
qui aussi les éclaire.
Ni les
honneurs
d’une
richesse
orine,
Ni les parfums
des
odorantes
fleurs,
Ni le printemps
des
champêtres
couleurs,
Ni les blancheurs
de colonne
ivoirine,
Ni les
appâts
de grâce
nectarine,
Ni les attraits
des
rosines
douceurs,
Ni le
doux
chant
des trois pipeuses
sœurs,
Ni les odeurs
de bouche
Cinabrine,
Ni les projets par
fol
amour
tracés,
Ni le
fin
or des
crêpillons lacés,
Ni le
beau
ciel
d’une
excellence
Claire,
Ni les
rayons
des astres
gracieux,
Ont ébloui par leur
lustre
mes yeux :
Mais la vertu, qui aussi les éclaire.
En ligne le
09/02/06.
Dernière révision le 14/11/24.