disposition du
préambule
(vers
1-7 ; 9-11)
propos :
Qui
peut nombrer les herbes
et les fleurs
Quand le Soleil
aux Jumeaux se présente,
Et les épis
dont Cérès
est
luisante,
Quand l’Écrevisse amène les
chaleurs.
Qui peut
réduire en nombre les fruits
meurs
De l’Équinoxe, et la neige
pesante
Du Capricorne à
l’œillade
cuisante,
Il peut nombrer à
l’aise
mes douleurs.
Et, les
nombrant, il peut nombrer encore
Les parements
d’Iris
et de l’Aurore
Et les brillants des étoiles
des Cieux.
Mais de nombrer les
grâces
d’Harmonie,
Quand d’un Argus
il aurait tous les yeux
Il ne pourrait, car elle est infinie.
Qui
peut nombrer les herbes
et les fleurs
Quand le Soleil
aux Jumeaux se présente,
Et les épis
dont Cérès
est
luisante,
Quand l’Écrevisse
amène les
chaleurs.
Qui peut
réduire en nombre les fruits
meurs
De l’Équinoxe, et la neige
pesante
Du Capricorne à l’œillade
cuisante,
Il peut nombrer à l’aise
mes douleurs.
Et, les nombrant,
il peut nombrer encore
Les parements
d’Iris
et de l’Aurore
Et les brillants des étoiles
des Cieux.
Mais de nombrer les
grâces
d’Harmonie,
Quand d’un
Argus
il aurait tous les yeux
Il ne pourrait, car elle
est infinie.
En ligne le 19/08/21.
Dernière révision le 31/08/24.