Que de
buissons !
que de
prés,
que de
bois,
Que de
taillis,
que de
vives
fontaines,
Que de
châteaux,
que de
monts,
que de
plaines,
Que de
troupeaux
différents à la fois !
Que
d’oisillons,
que de
sons,
que de
voix,
Que de
fruits
mûrs,
que de
fleurs
souveraines,
Mais que d’ennuis,
que de maux,
que de peines,
En ces
beaux
lieux où plus je ne te vois.
Rien ne m’y plaît, et
rien ne m’y contente,
Sinon, Maîtresse,
un désir
qui me tente
De ne plus vivre éloigné de tes
yeux :
Ton seul objet, qui me donne
courage,
Retient mon âme,
et, pour la tromper mieux,
Toujours lui rit à mon désavantage.
Que de
buissons !
que de
prés,
que de
bois,
Que de
taillis,
que de
vives
fontaines,
Que de
châteaux,
que de
monts,
que de
plaines,
Que de
troupeaux
différents à la fois !
Que
d’oisillons,
que de
sons,
que de
voix,
Que de
fruits
mûrs,
que de
fleurs
souveraines,
Mais que d’ennuis,
que de maux,
que de peines,
En ces
beaux
lieux où plus je ne te vois.
Rien ne m’y plaît, et
rien ne m’y contente,
Sinon, Maîtresse,
un désir
qui me tente
De ne plus vivre éloigné de tes
yeux :
Ton seul objet, qui me donne
courage,
Retient mon âme,
et, pour la tromper mieux,
Toujours lui rit à mon désavantage.
En ligne le 25/10/22.
Dernière révision le 25/10/22.