anaphore
de « ou »
(vers 1-11)
Soit qu’elle parle, ou bien
qu’elle entrelace
Au Luth
contraint
le branle
de ses doigts,
Ou qu’en fredons
elle anime sa voix,
Ou qu’à la
danse
elle flambe de grâce.
Ou que pompeuse en
l’Église
elle passe
Avec un port
réduisant à la fois
Tous les passants, immobilement froids
Comme rochers
voyant sa
belle
face.
Ou qu’elle rie, ou que ses
bruns
cheveux,
Frisés,
crêpés,
soient retressés de
nœuds,
Ou mollement avalés par
ondées :
Rien d’ici-bas ne vit en ses
beautés,
Aussi les traits
de ses divinités
Coulent du sein
des plus
belles
Idées.
Soit qu’elle parle, ou bien
qu’elle entrelace
Au Luth
contraint
le branle
de ses doigts,
Ou qu’en fredons
elle anime sa voix,
Ou qu’à la
danse
elle flambe de grâce.
Ou que pompeuse en
l’Église
elle passe
Avec un port
réduisant à la fois
Tous les passants, immobilement froids
Comme rochers
voyant sa
belle
face.
Ou qu’elle rie, ou que ses
bruns
cheveux,
Frisés,
crêpés,
soient retressés de
nœuds,
Ou mollement avalés par
ondées :
Rien d’ici-bas ne vit en ses
beautés,
Aussi les traits
de ses divinités
Coulent du sein
des plus
belles
Idées.
En ligne le
20/10/12.
Dernière révision le 09/10/22.