««« ai­sance »»»

« aise » ou « aisance » dans :
Du Bellay
1549
~ Le fort som­meil…
1550
~ Ô fleuve heu­reux…
Pele­tier
1555
~ Ceux qui vou­dront…
Baïf
1555
~ Rien étreindre ne puis…
Gadou
1573
~ Rome, qui fus sans Rome…
Boys­sières
1578
~ Tout à coup je me sens…
La Jessée
1583
~ Toujours le Dieu…
~ Ni le refus…
~ Avec les ans…
~ C’était au point du jour…
~ Quel aise en mon ennui…
Jamyn
1584
~ L’été sera l’hiver…
Du Buys
1585
~ Tirer de long tra­vail…
Chassi­gnet
1594
~ L’enfance n’est si­non…
Anne de Mar­quets
1605
~ La terre ne pro­duit…
~ Si on prise beau­coup…
Claude Gar­nier
1609
~ Qui peut nom­brer…
Bernier de La Brousse
1618
~ Tout ce qu’on peut tirer…
d’Aubi­gné
[1874]
~ Veillants, aigus, sub­tils…

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Aisance. Com­mode, propre, né­ces­saire, pri­vée, fa­cile.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 10r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_26]
(texte modernisé).

[Aisé /-ée. Che­min, ma­nie­ment, oppor­tu­ni­té, pont, re­quoi, temps, voie.]

[Voir aussi malaise.]


 

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Aisance. Com­mode, propre, ne­ces­saire, pri­uee, fa­cile.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 10r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_26]
(texte original).

[Aisé /-ee. Che­min, ma­nie­ment, oppor­tu­ni­té, pont, re­quoi, temps, voie.]

[Voir aussi malaise.]