Ni ce
beau
front,
qui l’honneur
même honore,
Ce ne sont pas les deux
archets
encore
De ces
beaux
yeux
de cent yeux
adorés :
Ce ne
sont pas les deux brins
colorés
De ce corail,
ces
lèvres
que j’adore,
Ce n’est ce
teint
emprunté de
l’Aurore,
Ni autre objet
des cœurs
énamourés :
Ce ne
sont pas ni ces
lis,
ni ces
roses,
Ni ces deux rangs
de
perles
si bien
closes,
C’est cet esprit,
rare
présent
des cieux :
Dont la
beauté
de cent grâces
pourvue
Perce mon âme,
et mon cœur,
et mes yeux
Par les rayons
de sa
poignante
vue.
CE ne sont pas ces beaux cheveux dorés,
Ni ce
beau
front,
qui l’honneur
même honore,
Ce ne sont pas les deux
archets
encore
De ces
beaux
yeux
de cent yeux
adorés :
Ce ne
sont pas les deux brins
colorés
De ce corail,
ces
lèvres
que j’adore,
Ce n’est ce
teint
emprunté de
l’Aurore,
Ni autre objet
des cœurs
énamourés :
Ce ne
sont pas ni ces
lis,
ni ces
roses,
Ni ces deux rangs
de
perles
si bien
closes,
C’est cet esprit,
rare
présent
des cieux :
Dont la
beauté
de cent grâces
pourvue
Perce mon âme,
et mon cœur,
et mes yeux
Par les rayons
de sa
poignante
vue.
En ligne le
03/11/09.
Dernière révision le 31/08/23.