[…]
Le mois de Mars n’a tant de violettes,
La
nuit
n’a point tant
d’estoiles
clairettes
Que i’auois de
chaleurs,
Iamais la flamme,
Que i’eus dans
l’ame,
Ne deuient moindre
Pour la contraindre,
O pauure amant tu brulois de tes pleurs.
Helas! mes yeus, ceste melancholie
Que i’allois distillant,
Et ces
soupirs
parcelles de ma vie
Qui me
le texte
porte "ces soupiers… qui me battoint… estoit"battoient
au flanc
Estoient l’amorce,
Dont prenoit force,
Ceste flameche
Qui vous le
texte porte "dechesse"desseche:
O comme Amour me sucçe iusqu’au sang.
[…]
[…]
Le mois de Mars n’a tant de violettes,
La
nuit
n’a point tant
d’eſtoiles
clairettes
Que i’auois de
chaleurs,
Iamais la flamme,
Que i’eus dans
l’ame,
Ne deuient moindre
Pour la contraindre,
O pauure amant tu brulois de tes pleurs.
Helas! mes yeus, ceſte melancholie
Que i’allois diſtillant,
Et ces
ſoupirs
parcelles de ma vie
Qui me
le texte
porte "ces soupiers… qui me battoint… estoit"battoient
au flanc
Eſtoient l’amorce,
Dont prenoit force,
Ceſte flameche
Qui vous le
texte porte "dechesse"deſſeche:
O comme Amour me ſucçe iuſqu’au ſang.
[…]
En ligne le
03/05/09.
Dernière révision le 25/02/24.