Ta
vertu,
ta
bonté,
et ta
rare
valeur,
M’ont
tellement charmé les
yeux,
les sens, et l’âme :
Qu’il n’y a trait, lien, ni amoureuse
flamme,
Qui plus blesse, garrotte, et embrase
autre cœur.
C’est
le
fer, le
cordeau, et l’ardent
feu
vainqueur,
Qui me point, qui
me tient,
qui vivement m’enflamme :
C’est l’onguent, le
couteau, et l’eau
que je réclame,
Pour guérir, délier, et dompter
mon ardeur.
Voilà cette unité
qui (soudain t’ayant vue)
Entama, prit, brûla, ma
pauvre
âme
déçue :
Mais la
voix, le
poil,
l’œil
qu’il me faut adorer,
C’est
le trait, c’est
le rets,
c’est la
vive
étincelle,
Qui me point, prend, et brûle
en t’aimant ma rebelle,
L’onguent, le
glaive, et
l’eau, qui me peut restaurer.
Ta
vertu, ta
bonté, et
ta
rare
valeur,
M’ont
tellement charmé les
yeux, les
sens,
et
l’âme :
Qu’il
n’y a
trait, lien, ni
amoureuse
flamme,
Qui plus blesse, garrotte, et
embrase
autre cœur.
C’est
le
fer, le
cordeau, et
l’ardent
feu
vainqueur,
Qui me point, qui
me tient,
qui vivement m’enflamme :
C’est l’onguent, le
couteau, et
l’eau
que je réclame,
Pour guérir, délier, et
dompter
mon ardeur.
Voilà cette unité
qui (soudain
t’ayant vue)
Entama, prit, brûla, ma
pauvre
âme
déçue :
Mais la
voix, le
poil, l’œil
qu’il me faut
adorer,
C’est
le trait, c’est
le rets, c’est
la vive
étincelle,
Qui me point, prend, et
brûle
en t’aimant ma
rebelle,
L’onguent, le
glaive,
et
l’eau, qui me peut restaurer.
En ligne le 14/06/08.
Dernière révision le 29/05/24.