Ta
vertu,
ta bonté,
et ta
rare
valeur,
M’ont tellement charmé les
yeux,
les sens, et l’âme :
Qu’il n’y a
trait,
lien,
ni
amoureuse
flamme,
Qui plus blesse, garrotte, et embrase autre
cœur.
C’est le
fer,
le cordeau,
et l’ardent
feu
vainqueur,
Qui me point, qui me tient, qui vivement m’enflamme :
C’est
l’onguent,
le couteau,
et l’eau
que je réclame,
Pour guérir, délier, et dompter mon
ardeur.
Voilà cette unité
qui (soudain t’ayant vue)
Entama, prit, brûla, ma
pauvre
âme
déçue :
Mais la voix,
le poil,
l’œil
qu’il me faut adorer,
C’est le
trait,
c’est le rets,
c’est la
vive
étincelle,
Qui me point, prend, et brûle en t’aimant ma
rebelle,
L’onguent,
le glaive
et l’eau,
qui me peut restaurer.
Ta
vertu,
ta bonté,
et ta
rare
valeur,
M’ont tellement charmé les
yeux,
les sens, et l’âme :
Qu’il n’y a
trait,
lien,
ni
amoureuse
flamme,
Qui plus blesse, garrotte, et embrase autre
cœur.
C’est le
fer,
le cordeau,
et l’ardent
feu
vainqueur,
Qui me point, qui me tient, qui vivement m’enflamme :
C’est
l’onguent,
le couteau,
et l’eau
que je réclame,
Pour guérir, délier, et dompter mon
ardeur.
Voilà cette unité
qui (soudain
t’ayant vue)
Entama, prit, brûla, ma
pauvre
âme
déçue :
Mais la voix,
le poil,
l’œil
qu’il me faut adorer,
C’est le
trait,
c’est le rets,
c’est la
vive
étincelle,
Qui me point, prend, et brûle en t’aimant ma
rebelle,
L’onguent,
le glaive
et l’eau,
qui me peut restaurer.
En ligne le
01/12/04.
Dernière révision le 20/04/22.