[…]
Orphin.
Commence une
chanson,
mon Claudin pour la tienne,
J’en dirai te suivant une autre pour la mienne.
[…]
Claudin.
Autant qu’on voit la
nuit
de flambeaux
dans les Cieux,
Autant qu’on trouve en
Mer
de trésors
précieux,
Autant qu’on voit de
sable
aux rives
infertiles,
Autant tes yeux
ardents
ont de flammes
subtiles.
Orphin.
Autant qu’on voit en
Mer
de monstres,
de poissons,
Autant que j’ai de
rets,
de lignes, d’hameçons,
Autant qu’au
gai
printemps
la terre
a de fleurettes,
Autant dans tes cheveux
tu caches
d’amourettes.
[…]
[…]
Orphin.
Commence une
chanson,
mon Claudin pour la tienne,
J’en dirai te suivant une autre pour la mienne.
[…]
Claudin.
Autant qu’on voit la
nuit
de flambeaux
dans les Cieux,
Autant qu’on trouve en
Mer
de trésors
précieux,
Autant qu’on voit de
sable
aux rives
infertiles,
Autant tes yeux
ardents
ont de flammes
subtiles.
Orphin.
Autant qu’on voit en
Mer
de monstres,
de poissons,
Autant que j’ai de
rets,
de lignes, d’hameçons,
Autant qu’au
gai
printemps
la terre
a de fleurettes,
Autant dans tes cheveux
tu caches
d’amourettes.
[…]
En ligne le
23/11/09.
Dernière révision le 30/04/23.