Ni
mont,
ni roc,
ni lande, ni rivière,
Ni pré,
ni bois,
ni forêt,
ni Cité,
Ne m’ont ravi l’absente
Déité
Qui fait mon âme
esclave
et prisonnière.
Comme une
Idole
à mes sens familière,
Soit par le jour,
soit en l’obscurité,
Par les chemins
toujours, à mon côté,
Je l’entrevois d’une
aile
coutumière.
Avant,
les cerfs en terre
vogueront,
Avant,
les chars
sur les ondes iront
Et
les poissons nageront
ès bocages,
Et
les sangliers
gîteront dans les eaux,
Que sa beauté,
qui me fait tant de maux,
N’héberge en moi le
gain
de ses dommages.
Ni
mont,
ni roc,
ni lande, ni rivière,
Ni pré,
ni bois,
ni forêt,
ni Cité,
Ne m’ont ravi l’absente
Déité
Qui fait mon âme
esclave
et prisonnière.
Comme une
Idole
à mes sens familière,
Soit par le jour,
soit en l’obscurité,
Par les chemins
toujours, à mon côté,
Je l’entrevois d’une
aile
coutumière.
Avant,
les cerfs en terre
vogueront,
Avant,
les chars
sur les ondes iront
Et
les poissons nageront
ès bocages,
Et
les sangliers
gîteront dans les eaux,
Que sa beauté,
qui me fait tant de maux,
N’héberge en moi le
gain
de ses dommages.
En ligne le 22/10/22.
Dernière révision le 13/06/23.