Que
l’homme
est malheureux,
cependant qu’il poursuit
Le
misérable
cours
de cette vie
humaine,
N’ayant rien de certain qu’une
mort
incertaine,
Qui doit clore ses
yeux
d’une trop
longue
nuit.
Du
Printemps
vient l’Été,
l’Hiver
l’Automne
suit,
La nuit
pousse le jour,
le jour
la nuit
ramène,
Le repos
le travail,
la vie
à la mort
mène,
Ainsi l’homme
inconstant
sans constance
est conduit.
Mais toute
l’inconstance
en tout le contrarie :
Car le
plaisir, le
chaud, le
froid, la
maladie,
Du
Printemps, de
l’Été, de
l’Hiver, de
l’Automne,
Attiédi, bouillonnant, glacial
et
pesteux,
Le débauche, le
brûle, et
le gèle, et
lui donne
La mort, qui le conduit sous le
tombeau
poudreux.
Que
l’homme
est malheureux,
cependant qu’il poursuit
Le
misérable
cours
de cette vie
humaine,
N’ayant rien de certain qu’une
mort
incertaine,
Qui doit clore ses
yeux
d’une trop
longue
nuit.
Du
Printemps
vient l’Été,
l’Hiver
l’Automne
suit,
La nuit
pousse le jour,
le jour
la nuit
ramène,
Le repos
le travail,
la vie
à la mort
mène,
Ainsi l’homme
inconstant
sans constance
est conduit.
Mais toute
l’inconstance
en tout le contrarie :
Car le
plaisir, le
chaud, le
froid, la
maladie,
Du
Printemps, de
l’Été, de
l’Hiver, de
l’Automne,
Attiédi, bouillonnant, glacial
et
pesteux,
Le débauche, le
brûle, et
le gèle, et
lui donne
La mort, qui le conduit sous le
tombeau
poudreux.
En ligne le
22/10/22.
Dernière révision le 22/10/22.