L’Amour,
la Mort,
le sort,
ont tous voulu entendre,
A me darder leurs traitz,
& tendre leurs lassons,
Composez de regards,
de feux,
& de glassons,
Et ne me fault des trois aucune
grace
attendre.
Le
veneur,
l’oyseleur,
le pescheur,
ne peut tendre,
Tant de Reths,
tant de glus,
tant & tant
d’hamessons,
Aux animaux des champs,
aux oyseaux,
aux poissons,
Comme ilz en ont dressé pour me pouuoir surprendre.
Ny le
barbare
Turc,
ny le Parthe
guerrier,
Ne peult tant descocher, ny tant s’enfurier,
Que ces
cruelz
volleurs
me presentent
d’outrage.
Ilz ont tant contre moy
courbé leur
Arc
Turquois,
Qu’il semble que ie sois leur
trousse
& leur Carquois,
Et que ie les fornis à mon propre
dommage.
L’Amour,
la Mort,
le sort,
ont tous voulu entendre,
A me darder leurs traitz,
& tendre leurs lassons,
Composez de regards,
de feux,
& de glassons,
Et ne me fault des trois aucune
grace
attendre.
Le
veneur,
l’oyseleur,
le pescheur,
ne peut tendre,
Tant de Reths,
tant de glus,
tant & tant
d’hamessons,
Aux animaux des champs,
aux oyseaux,
aux poissons,
Comme ilz en ont dressé pour me pouuoir surprendre.
Ny le
barbare
Turc,
ny le Parthe
guerrier,
Ne peult tant descocher, ny tant s’enfurier,
Que ces
cruelz
volleurs
me presentent
d’outrage.
Ilz ont tant contre moy
courbé leur
Arc
Turquois,
Qu’il semble que ie sois leur
trousse
& leur Carquois,
Et que ie les fornis à mon propre
dommage.
En ligne le
07/01/13.
Dernière révision le 12/09/21.