Comme
Sisyphe
aller toujours roulant,
Suant d’ahan, soufflant à
grosse
haleine,
Un dur
caillou
que du mont
en la plaine
Bronchant à bonds
son poids
va reboulant.
Comme
Titye
en un sable
relent
Entre-moiteux
de l’onde
stygienne,
Donner son foie,
une
éternelle
peine,
À mille oiseaux
qui le vont violant.
Avoir toujours ainsi
qu’une tempête
Prête en la nue,
à plomb
dessus la tête
Un roc
pendu dont on
est menacé,
Toujours verser avec la
cruche
pleine
Une eau
fuyarde
en un tonneau
percé,
C’est là
l’ébat
de cette race
humaine.
Comme
Sisyphe
aller toujours roulant,
Suant d’ahan, soufflant à
grosse
haleine,
Un dur
caillou
que du mont
en la plaine
Bronchant à bonds
son poids
va reboulant.
Comme
Titye
en un sable
relent
Entre-moiteux
de l’onde
stygienne,
Donner son foie, une
éternelle
peine,
À mille oiseaux
qui le vont violant.
Avoir toujours ainsi
qu’une
tempête
Prête en la nue,
à plomb
dessus la tête
Un roc
pendu dont on
est menacé,
Toujours verser avec la
cruche
pleine
Une eau
fuyarde
en un tonneau
percé,
C’est
là l’ébat
de cette race
humaine.
En ligne le
17/03/25.
Dernière révision le 17/03/25.