Passereau. Pépiant, chaud, enfant d’amour, frétillant, vagabond, petit, voletant, mignard, pinceteur, sautelant, gentil, béant, picoteur.
Cet oiseau est aussi paillard qu’un Pigeon, toutefois il ne vit pas tant, et dit-on qu’il ne vit qu’un an, mais les femelles vivent davantage.
Maurice de LA PORTE, Les
Épithètes, 1571,
f° 196v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_399]
(texte modernisé).
[Voir aussi passerelle ou passe, et aigle, alouette, aronde ou arondelle, autour, autruche, busard, caille, cane ou canard, chardonneret, chat-huant, cigogne, colomb, colombe ou colombelle, coq, coq d’Inde, corbeau, corneille, cygne, duc, épervier, faucon, grue, héron, hibou, linot ou linotte, martinet, milan, oie, oison, palombe, paon, pélican, perdrix, perroquet, pie, plongeon, poule, poussin, ramier, rossignol, sacre, tarin, tourte ou tourterelle, vautour ; voir encore phénix.]
Passereau. Pepiant, chaud, enfant d’amour, fretillant, vagabond, petit, voletant, mignard, pinseteur, sautelant, gentil, beant, piquoteur.
Cet oiseau est aussi paillard qu’vn Pigeon, toutesfois il ne vit pas tant, & dit on qu’il ne vit qu’vn an, mais les femelles viuent dauantage.
Maurice de LA PORTE, Les
Epithetes, 1571,
f° 196v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_399]
(texte original).
[Voir aussi passerelle ou passe, et aigle, alouette, aronde ou arondelle, autour, austruche, busard, caille, cane ou canart, chardonneret, chat-huan, cigogne, colomb, columbe ou columbelle, coq, coq d’Inde, corbeau, corneille, cygne, duc, esperuier, faucon, grue, heron, hibou, linot ou linotte, martinet, milan, oie, oison, palombe, paon, pelican, perdris, perroquet, pie, plongeon, poule, poussin, ramier, rossignol, sacre, tarin, tourte ou tourterelle, vaultour ; voir encore phœnix.]
Liens
* On peut regarder en ligne sur Gallica un « portrait » du « Moineau, Paisse, ou Moisson », et lire « Du Moineau de ville », chapitre XIX du « septième livre de la Nature des oisillons qui hantent les haies, bûchettes, et buissons », pp. 361-362 de L’Histoire de la nature des Oiseaux, avec leurs descriptions, et naïfs portraits retirés du naturel, de Pierre Belon, du Mans, publiée à Paris en 1555.
Le même portrait du « Moineau, Moucet, Moisson, Paisse, Passereau, Passerat », sans les couleurs, se voit au f° 92v° des Portraits d’Oiseaux enrichis de Quatrains, du même Pierre Belon, publiés à Paris en 1557.
* On peut aussi sur Gallica regarder et lire le blason du Passereau, f° a8r° du Blason des Oiseaux de Guillaume Gueroult, publié à Lyon en 1550.
Liens valides au 29/06/22.