Busard. Toujours-vide, présagieux, affamé.
Cet oiseau de proie autrement nommé Sacre, a trois rognons, ainsi que dit Pline, et à lui est adjugée la couronne des bons augures.
Maurice de LA PORTE, Les
Épithètes, 1571,
f° 42v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_91]
(texte modernisé).
[Voir aussi aigle, alouette, aronde ou arondelle, autour, autruche, caille, cane ou canard, chardonneret, chat-huant, cigogne, colomb, colombe ou colombelle, coq, coq d’Inde, corbeau, corneille, coucou ou cocu, cygne, duc, épervier, faucon, grue, héron, hibou, linot ou linotte, martinet, milan, oie, oison, palombe, paon, passereau, passerelle ou passe, pélican, perroquet, pie, pigeon, plongeon, poule, poussin, ramier, rossignol, tarin, tourte ou tourterelle, vautour ; voir encore phénix.]
Busard ou Buisard. Tousiours-vuide, presagieus, affamé.
Cet oiseau de proie autrement nommé Sacre, a trois roignons, ainsi que dit Pline, & à lui est adiugée la couronne des bons augures.
Maurice de LA PORTE, Les
Epithetes, 1571,
f° 42v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_91]
(texte original).
[Voir aussi aigle, alouette, aronde ou arondelle, autour, austruche, caille, cane ou canart, chardonneret, chat-huan, cigogne, colomb, columbe ou columbelle, coq, coq d’Inde, corbeau, corneille, coucou ou cocu, cygne, duc, esperuier, faucon, grue, heron, hibou, linot ou linotte, martinet, milan, oie, oison, palombe, paon, passereau, passerelle ou passe, pelican, perroquet, pie, pigeon, plongeon, poule, poussin, ramier, rossignol, tarin, tourte ou tourterelle, vaultour ; voir encore phœnix.]
Liens
* On peut regarder en ligne sur Gallica le « portrait » colorié du Busard et lire « De la Buse, ou Busard », chapitre IX du « second livre de la Nature des oiseaux de proie, tant de jour que de nuit », pp. 100-101 de L’Histoire de la nature des Oiseaux, avec leurs descriptions, et naïfs portraits retirés du naturel, de Pierre Belon, du Mans, publiée à Paris en 1555.
Le même « portrait de la Buse, ou Busard », sans les couleurs, se voit f° 14r° des Portraits d’Oiseaux enrichis de Quatrains du même Pierre Belon, parus en 1557.
Liens valides au 16/02/22.