Milan. Pillard, gourmand, avide, fameilleux ou affamé, ravisseur ou ravissant, passager, famélique.
Cet oiseau est fort âpre à la proie, et est toujours affamé : il se retire l’hiver, mais il ne part point avant les arondelles.
Maurice de LA PORTE, Les
Épithètes, 1571,
f° 166v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_339]
(texte modernisé).
[Ennemi du milan. Sacre.]
[Voir aussi aigle, alouette, autour, autruche, busard, caille, cane ou canard, chardonneret, chat-huant, cigogne, colomb, colombe ou colombelle, coq, coq d’Inde, corbeau, corneille, coucou ou cocu, cygne, duc, épervier, faucon, grue, héron, hibou, linot ou linotte, martinet, oie, oison, palombe, paon, passereau, passerelle ou passe, pélican, perdrix, perroquet, pie, pigeon, plongeon, poule, poussin, ramier, rossignol, tarin, tourte ou tourterelle, vautour ; voir encore phénix.]
Milan. Pillard, gourmand, auide, fameilleus ou affamé, rauisseur ou rauissant, passager, famelique.
Cet oiseau est fort aspre à la proie, & est tousiours affamé : il se retire l’hiuer, mais il ne part point auant les arondelles.
Maurice de LA PORTE, Les
Epithetes, 1571,
f° 166v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_339]
(texte original).
[Ennemi du Milan. Sacre.]
[Voir aussi aigle, alouette, autour, austruche, busard, caille, cane ou canart, chardonneret, chat-huan, cigogne, colomb, columbe ou columbelle, coq, coq d’Inde, corbeau, corneille, coucou ou cocu, cygne, duc, esperuier, faucon, grue, heron, hibou, linot ou linotte, martinet, oie, oison, palombe, paon, passereau, passerelle ou passe, pelican, perdris, perroquet, pie, pigeon, plongeon, poule, poussin, ramier, rossignol, tarin, tourte ou tourterelle, vaultour ; voir encore phœnix.]
Liens
* On peut regarder en ligne sur Gallica un « portrait » du Milan, et lire « Du Milan Royal », chapitre XXVI du « second livre de la Nature des oiseaux de proie, tant de jour que de nuit », pp. 129-131 de L’Histoire de la nature des Oiseaux, avec leurs descriptions, et naïfs portraits retirés du naturel, de Pierre Belon, du Mans, publiée à Paris en 1555.
Le même portrait du Milan, sans les couleurs, se voit au f° 21v° des Portraits d’Oiseaux enrichis de Quatrains, du même Pierre Belon, publiés à Paris en 1557.
* On peut aussi sur Gallica regarder et lire le « blason du Milan », p. 29 du Blason des Oiseaux de Guillaume Gueroult, publié à Lyon en 1550.
Liens valides au 19/05/20.