Les Épithètes
de Maurice de La Porte (1571)
Le Préam­bule des
innom­brables
««« éper­vier »»»

« éper­vier » dans :
Cer­ton
1604
~ [Elle au-dedans chan­tait…

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Épervier. Dé­dai­gneux, ra­mage, niais, aime-proie, fâ­cheux.

C’est un oiseau de proie qui est fa­cile à lais­ser son maître.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 95r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_196]
(texte modernisé).

[Voir aussi aigle, alouette, aronde ou aron­delle, au­tour, au­truche, bu­sard, caille, cane ou ca­nard, char­don­ne­ret, chat-huant, ci­gogne, co­lomb, co­lombe ou co­lom­belle, coq, coq d’Inde, cor­beau, cor­neille, cou­cou ou cocu, cygne, duc, fau­con, grue, hé­ron, hi­bou, li­not ou li­notte, mar­ti­net, mi­lan, oie, oison, pa­lombe, paon, pas­se­reau, pas­se­relle ou passe, pé­li­can, per­drix, per­ro­quet, pie, pi­geon, plon­geon, poule, pous­sin, ra­mier, ros­si­gnol, sacre, ta­rin, tourte ou tour­te­relle, vau­tour ; voir en­core phé­nix.]


 

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Espreuier ou Esper­uier. Des­dai­gneus, ra­mage, niais, aime-proïe, fa­cheus.

C’est vn oiseau de proïe qui est fa­cile à lais­ser son maistre.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 95r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_196]
(texte original).

[Voir aussi aigle, alouette, aronde ou aron­delle, au­tour, aus­truche, bu­sard, caille, cane ou ca­nart, char­don­ne­ret, chat-huan, ci­gogne, co­lomb, co­lumbe ou co­lum­belle, coq, coq d’Inde, cor­beau, cor­neille, cou­cou ou cocu, cygne, duc, fau­con, grue, he­ron, hi­bou, li­not ou li­notte, mar­ti­net, mi­lan, oie, oi­son, pa­lombe, paon, pas­se­reau, pas­se­relle ou passe, pe­li­can, per­dris, per­ro­quet, pie, pi­geon, plon­geon, poule, pous­sin, ra­mier, ros­si­gnol, sacre, ta­rin, tourte ou tour­te­relle, vaul­tour ; voir en­core phœ­nix.]

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Liens

* On peut regar­der en ligne sur Gallica le « por­trait » co­lo­rié de l’Éper­vier, dans le cha­pitre xxi du « second livre de la Na­ture des oiseaux de proie, tant de jour que de nuit », pp. 121 à 123 de L’His­toire de la na­ture des Oi­seaux, avec leurs des­crip­tions, et naïfs por­traits re­ti­rés du na­tu­rel, de Pierre Belon, du Mans, pu­bliée à Paris en 1555.

Le même portrait de l’Éper­vier, sans les cou­leurs, se voit au f° 19v° des Por­traits d’Oi­seaux en­ri­chis de Qua­trains, du même Pierre Belon, publiés à Paris en 1557.

* On peut aussi sur Gallica regar­der et lire le « bla­son de l’Éper­vier », f° a5v° du Bla­son des Oi­seaux de Guil­laume Gue­roult, pu­blié à Lyon en 1550.

Liens valides au 06/08/23.

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