««« chardon­neret »»»

 

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Chardon­ne­ret. Pein­tu­ré, joli, appe­lant, petit.

Cet oiseau est mis au rang des plus petits, tou­te­fois il retient fort bien ce qu’on lui montre et le fait pareil­le­ment. Les oise­leurs le nomment Appe­lant, pource qu’il invite et appelle les autres oiseaux à chan­ter.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 53v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_113]
(texte modernisé).

[Voir aussi aigle, alouette, aronde ou aron­delle, au­tour, au­truche, bu­sard, caille, cane ou ca­nard, chat-huant, ci­gogne, co­lomb, co­lombe ou co­lom­belle, coq, coq d’Inde, cor­beau, cor­neille, cou­cou ou cocu, cygne, duc, éper­vier, fau­con, grue, hé­ron, hi­bou, li­not ou li­notte, mar­ti­net, mi­lan, oie, oison, pa­lombe, paon, pas­se­reau, pas­se­relle ou passe, pé­li­can, per­drix, per­ro­quet, pie, pi­geon, plon­geon, poule, pous­sin, ra­mier, ros­si­gnol, sacre, ta­rin, tourte ou tour­te­relle, vau­tour ; voir en­core phé­nix]


 

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Chardon­ne­ret. Pein­tu­ré, ioli, appel­lant, petit.

Cet oiseau est mis au rang des plus petis, tou­tes­fois il retient fort bien ce qu’on lui monstre & le fait pareil­le­ment. Les oise­leurs le nomment Appel­lant, pource qu’il inuite & appelle les autres oiseaus à chan­ter.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 53v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_113]
(texte original).

[Voir aussi aigle, alouette, aronde ou aron­delle, au­tour, aus­truche, bu­sard, caille, cane ou ca­nart, chat-huan, ci­gogne, co­lomb, co­lumbe ou co­lum­belle, coq, coq d’Inde, cor­beau, cor­neille, cou­cou ou co­cu, cygne, duc, esper­uier, fau­con, grue, he­ron, hi­bou, li­not ou li­notte, mar­ti­net, mi­lan, oie, oison, pa­lombe, paon, pas­se­reau, pas­se­relle ou passe, pe­li­can, per­dris, per­ro­quet, pie, pi­geon, plon­geon, poule, pous­sin, ra­mier, ros­si­gnol, sacre, ta­rin, tourte ou tour­te­relle, vaul­tour ; voir en­core phœ­nix]