««« pa­lombe »»»

 

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Palombe. En­rouée, sau­vage, aé­rienne, rou­cou­lante.

Cet oiseau autre­ment nom­mé Pigeon ramier, fait son nid dans les arbres, et les haies, au contraire des autres pi­geons.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 190r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_386]
(texte modernisé).

[Voir aussi aigle, alouette, aronde ou aron­delle, au­tour, au­truche, bu­sard, caille, cane ou ca­nard, char­don­ne­ret, chat-huant, ci­gogne, co­lomb, co­lombe ou co­lom­belle, coq, coq d’Inde, cor­beau, cor­neille, cou­cou ou cocu, cygne, duc, éper­vier, fau­con, grue, hé­ron, hi­bou, li­not ou li­notte, mar­ti­net, mi­lan, oie, oi­son, paon, pas­se­reau, pas­se­relle ou passe, pé­li­can, per­drix, per­ro­quet, pie, plon­geon, poule, pous­sin, ra­mier, ros­si­gnol, sacre, ta­rin, tourte ou tour­te­relle, vau­tour ; voir en­core phé­nix.]


 

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Palombe. En­rouee, sau­uage, aë­rienne, rou­cou­lante.

Cet oiseau autre­ment nom­mé Pigeon ramier, fait son nid dans les arbres, & les haies, au contraire des autres pi­geons.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 190r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_386]
(texte original).

[Voir aussi aigle, alouette, aronde ou aron­delle, au­tour, aus­truche, bu­sard, caille, cane ou ca­nart, char­don­ne­ret, chat-huan, ci­gogne, co­lomb, co­lumbe ou co­lum­belle, coq, coq d’Inde, cor­beau, cor­neille, cou­cou ou cocu, cygne, duc, esper­uier, fau­con, grue, he­ron, hi­bou, li­not ou li­notte, mar­ti­net, mi­lan, oie, oi­son, paon, pas­se­reau, pas­se­relle ou passe, pe­li­can, per­dris, per­ro­quet, pie, plon­geon, poule, pous­sin, ra­mier, ros­si­gnol, sacre, ta­rin, tourte ou tour­te­relle, vaul­tour ; voir en­core phœ­nix.]



 

Liens

* On peut regar­der en ligne sur Gallica un « por­trait » de la Pa­lombe, ou Ra­mier, et lire « Des Ra­miers », cha­pitre XIX du « sixième livre de la Na­ture des oiseaux, qu’on touve vian­der indif­fé­rem­ment en tous lieux », pp. 307-309 de L’His­toire de la na­ture des Oi­seaux, avec leurs des­crip­tions, et naïfs por­traits reti­rés du natu­rel, de Pierre Belon, du Mans, publiée à Paris en 1555.

Le même portrait de la Palombe, ou Pigeon ramier, sans les couleurs, se voit au f° 76v° des Portraits d’Oiseaux enri­chis de Qua­trains, du même Pierre Belon, publiés à Paris en 1557.

* On peut aussi sur Gallica regar­der et lire le bla­son de la Pa­lumbe, p. 22 du Bla­son des Oi­seaux de Guil­laume Gue­roult, pu­blié à Lyon en 1550.

Liens valides au 09/08/22.