Caille. Farouche, passagère, chaude, étrange.
Cet oiseau est petit, et ne se jette trop en l’air ès régions de par deçà, ains vole près de terre : aimant principalement le blé vert et le grain de froment.
Maurice de LA PORTE, Les
Épithètes, 1571,
f° 44r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_94]
(texte modernisé).
[Voir aussi aigle, alouette, aronde ou arondelle, autour, autruche, busard, cane ou canard, chardonneret, chat-huant, cigogne, colomb, colombe ou colombelle, coq, coq d’Inde, corbeau, corneille, coucou ou cocu, cygne, duc, épervier, faucon, grue, héron, hibou, linot ou linotte, martinet, milan, oie, oison, palombe, paon, passereau, passerelle ou passe, pélican, perdrix, perroquet, pie, pigeon, plongeon, poule, poussin, ramier, rossignol, sacre, tarin, tourte ou tourterelle, vautour ; voir encore phénix.]
Caille. Farouche, passagere, chaude, estrange.
Cet oiseau est petit, & ne se iette trop en l’air és regions de par deça, ains vole pres de terre: aimant principalement le bled verd & le grain de froument.
Maurice de LA PORTE, Les
Epithetes, 1571,
f° 44r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_94]
(texte original).
[Voir aussi aigle, alouette, aronde ou arondelle, autour, austruche, busard, cane ou canart, chardonneret, chat-huan, cigogne, colomb, columbe ou columbelle, coq, coq d’Inde, corbeau, corneille, coucou ou cocu, cygne, duc, esperuier, faucon, grue, heron, hibou, linot ou linotte, martinet, milan, oie, oison, palombe, paon, passereau, passerelle ou passe, pelican, perdris, perroquet, pie, pigeon, plongeon, poule, poussin, ramier, rossignol, sacre, tarin, tourte ou tourterelle, vaultour ; voir encore phœnix.]
Liens
* On peut regarder en ligne sur Gallica un « portrait » de la caille, et lire « Des Cailles, et de leurs conducteurs », chapitre XX du « cinquième livre de la Nature des oiseaux de campagne, qui font leurs nids sur terre », pp. 263-266 de L’Histoire de la nature des Oiseaux, avec leurs descriptions, et naïfs portraits retirés du naturel, de Pierre Belon, du Mans, publiée à Paris en 1555.
Le même portrait de la caille, sans les couleurs, se voit au f° 64r° des Portraits d’Oiseaux enrichis de Quatrains, du même Pierre Belon, publiés à Paris en 1557.
* On peut aussi sur Gallica regarder et lire le « blason de la Caille », p. 28 du Blason des Oiseaux de Guillaume Gueroult, publié à Lyon en 1550.
Liens valides au 16/03/20.